Eau, Quantique

L’eau: miroir de notre conscience


Bernard Blancan, découvre ses pouvoirs de sourcier au moment où il rencontre son père biologique, lui-même sourcier. En 2019, il fait une découverte incroyable: l’eau, quand il la regarde en conscience, enregistre et transmet à distance l’écho de sa conscience, de son activité psychique, de sa « pulsion de vie », comme il le précise lui-même. A partir de cette expérience inédite qu’il nomme « doubleYou », il consacre son activité de recherche à l’eau et à son lien avec la conscience.

« Mes premières expériences avaient pour objectif de montrer que les guérisseurs ont une réelle action physique sur les personnes qu’ils soignent, indépendamment de l’effet placébo. C’est pourquoi j’ai souhaité mesurer les effets non locaux de l’intention sur la matière. Au fil de mes investigations, j’ai pris conscience que tout tourne autour d’un dénominateur commun: l’eau. C’est ainsi que j’ai eu l’idée de mettre deux électrodes dans de la « flotte » et de faire une démonstration lors d’une conférence à l’Institut métaphysique de Paris. Une expérience fondatrice! Je voulais objectiver de manière formelle l’action d’un guérisseur, montrer que la conscience peut agire sur la matière. »

Le protocole DoubleYou:


L’experience nécessite deux accessoires: une fiole d’eau et un multimètre, un appareil qui mesure les différents paramètres du courant électrique (ampères, volts, ohms)
Bernard Blancan branche 2 électrodes du multimètre dans une fiole d’eau, le relis le multimètre à son ordinateur avec un câble USB pour enregistrer les mesures de l’appareil qui apparaissent sur l’écran d’ordinateur sous forme de courbes graphiques.
– Il prend une photo de la fiole d’eau et envoie cette image vers le téléphone portable du volontaire, puis il lance l’enrgistrement des mesures sur son ordinateur.
– Le volontaire regarde la photo reçue pendant une dizaine de secondes, c’est ainsi que sa conscience est reliée à la fiole d’eau.
– Le volontaire vaque à ses occupations et note les heures de changement d’activité (déplacement, rencontre, lecture, etc..)
– Pendant ce temps l’appareil enregistre les variations électrique de l’eau.
– A la fin de la période, Bernard Blancan envoie au volontaire une courbe de mesures vide de toute annotation. Le volontaire envoie alors le compte rendu de ses activités. Bernard Blancan introduit les informations transmises par le volontaire sur la courbe de mesures. C’est à ce moment que l’on peut constater les corrélations entre l’état psychique et les fluctuations de la courbe.
L’expérience est reproductible à 100% et universelle et mesurable par n’importe qui.

Comment définiriez-vous la conscience?


La consience n’a rien de spirituel, c’est soi, être soi, quelqu’un, une entité, un individu en interaction avec un environnement. Elle est cette énergie électrique qui nous pousse à agir, que vous qualifieriez d’énergie vitale, mais que j’appelerais juste la conscience. Grâce à tous nos sens la conscience perçoit l’univers dans lequel elle évolue, elle l’analyse et interagit avec lui avec une réaction émotionnelle qui est teintée par notre passé, notre histoire personnelle, l’histoire collective de l’humanité, notre culture, notre éducation…C’est en fonction de toutes ces strates d’informations que nous passons à l’action, prenons des décisions qui vont orienter notre vie dans tel ou tel sens, que nous nous levons, couchons, mangeons, etc.

L’inconscient est la base de notre conscience?


La base de toute conscience est le désir, la motivation, cette pulsion de vie qui nous fait bouger. Quelqu’un qui est en dépression ne fait plus rien, quelqu’un qui va bien est animé par la motivation de manger, de rencontrer d’autres personnes, etc..

La conscience non-locale?


Pendant que vous êtes en train de faire vos courses à Uzeste et que moi, à Paris, je vous mesure en train de faire vos courses, ça veut dire qu’il y a une part de vous qui est à Uzeste et qui est en même temps chez moi. La conscience est donc non locale. Quand un guérisseur soigne par téléphone un grand brûlé ou qu’il intervient à distance avec une photo comme support, il y a en effet une relation qui s’établit avec le patient de façon non locale.

Les autres éléments tels que le feu, la terre ou l’air auraient-ils les mêmes capacités d’être un miroir de notre psychisme?


Je fais des mesures avec de l’électricité, on peut associer l’électricité au feu, j’utilise des électrodes de différents métaux dans mes expériences, tous étant extraits de la terre. L’eau est partout, le cerveau fonctionne avec de l’électricite et de l’eau. De façon symétrique, les informations de la conscience qui émergent dans le cerveau, milieu constitué d’électricité et d’eau, se projettent comme dans un miroir dans un récipient d’eau avec de l’électricité.

Extrait du magazine Nexus n°142. A lire: « Les pouvoirs de l’eau » Bernard Blancan

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