Eau, Science

L’eau est un capteur d’énergies


L’eau est la substance la plus abondante à la surface du globe. On la rencontre sous les 3 états de la matière. Bien connue sous la forme de glace ou de neige, l’eau solide est également présente dans d’innombrables minéraux, les hydrates naturels. Les eaux naturelles sont des mélanges, l’oxyde d’hydrogène étant mêlé à des impuretés minérales ou organiques. La vapeur d’eau est un important constituant de l’atmosphère.
Bien que très étudiées, les propriétés physico-chimiques de l’eau sont encore mal connues. Liquide aux propriétés thermodynamiques hors normes, c’est cependant l’eau qui est, encore aujourd’hui, l’éléments de référence dans la définition de l’échelle thermométrique Celsius. Ces propriétés « anormales » et paradoxales ont déterminé la nature de notre monde physique et biologique.

Définition chimique :

Composé chimique d’Oxygène et d’Hydrogène, c’est le fameux H2O constitué de 3 atomes : un oxygène et 2 hydrogènes. Ses 2 pôles électriques opposés sont à l’origine d’une incessante activité de ses molécules qui sont loin de l’ensemble stable et inerte que certains ont voulu décrire. Ainsi, tout autre corps se solidifiant sous l’effet du froid devient plus dense et coule au fond d’un récipient alors que la glace surnage!
En fait à l’état liquide, l’eau possède une organisation moléculaire bien particulière: les 2 atomes d’Hydrogène sont disposés de part et d’autres de l’atome d’Oxygène, mais en formant un ange d’environ 105°, donc un peu plus ouvert qu’un angle droit. C’est cette disposition particulière qui confère à la molécule d’eau ses curieuses propriétés électriques. Ceci la rend sensible aux attractions électrostatiques provenant des molécules d’eau voisines aussi bien que de tout corps possédant une charge électrique. C’est cette particularité qui est à l’origine de la vie et de toute structure biologique.
La molécule d’eau, lorsqu’elle est dissociée se scinde en deux parties inégales : H d’un côté et OH de l’autre. Cette inégalité génère l’apparition d’une oscillation électromagnétique de fréquence très élevée. Pour entretenir cette oscillation, il faut de l’énergie : elle est fournie par les rayonnements électromagnétiques avec lesquelles l’eau peut entre en résonance, en particulier par le rayonnement solaire. C’est ainsi qu’une eau de synthèse, toxique par nature, perd sa toxicité par une exposition de quelques jours au rayonnement solaire qui la rend ainsi « biologique », c’est à dire capable de jouer son rôle au sein d’un organisme vivant.

Marcel Violet :

Ses expériences lui ont permis de mettre en évidence les radiations susceptibles de transformer les propriétés biologiques de l’eau. Il soumit dans ce but des échantillons d’eau à des ondes électromagnétiques de toute la gamme des fréquences connues. Il commença d’obtenir des résultats lorsqu’il se mit à employer un oscillateur spécial équipé de condensateur dont le diélectrique était en cire d’abeille. Cet appareil permet de restituer à l’eau ses remarquables propriétés biologiques, en quelques heures. L’eau traitée avec l’oscillateur Violet exerce une action très revitalisante sur les végétaux aussi bien que sur les animaux et bien sûr les humains. Par la suite cette découverte permit de générer des solutions colloïdales riches en oligo-éléments dynamisés.

Louis-Claude Vincent:

Fondateur de la bio-électronique, ingénieur hydrologue, il considérait que seule cette méthode permet la compréhension du mode de fonctionnement organique, ainsi que du mode d’apparition et d’évolution des maladies et l’effet d’un traitement.
Selon lui, pour comprendre les propriétés d’un solution aqueuse, il faut en mesurer 3 valeurs: le pH, le potentiel redox et la résistivité. Ces 3 facteurs ont une portée universelle et conditionnent toutes les activités vitales, de la croissance des plantes au développement des micro organismes, de la fécondation à la santé des animaux et des êtres humains.
Trop peu utilisée encore, cette méthode au large champs d’applications devrait faire partie des bases indispensables de la médecine de l’avenir. Les travaux de Louis-Claude Vincent ont permis une avancée spectaculaire de la connaissance des mystères de l’eau.

André Simoneton:

Autre ingénieur, il avait établie une échelle des ondes connues d’après lesquelles il lui était possible de déterminer les facteur favorables ou non à la santé. Pour résumer, selon lui, l’organisme humain émet des ondes aux alentours de 6200/7000 angströms qu’il lui est nécessaire de maintenir pour rester en bonne santé (elles seraient plus élevées de nos jours) . En deçà, c’est la maladie. Or , tout notre environnement va jouer sur notre « radiation »: le bain d’ondes dans lequel nous vivons, certes (ondes telluriques, cosmiques…), mais aussi les ondes des aliments que nous consommons et celles de l’eau que nous buvons et dans laquelle nous nous baignons.
Il fit en ce sens une étude des propriétés de l’eau fort intéressante. Trop pure, telle l’eau distillée, elle est sans vie, donc va prélever à l’organisme une partie de sa vitalité pour s’équilibrer à son tour.

« Toute eau se dynamise au contact d’un minéral,… d’un émetteur d’ondes quelconque.. et garde un certain temps les radiations qu’elle à reçu. »

Ce serait ce contact avec des minéraux qui lui permettrait de véhiculer des ondes. Pour Simoneton, l’homme ne devrait boire que de l’eau dynamisée. Parmi les eaux dynamisées naturellement, il cite l’eau de mer, les eaux des montagnes, en particulier celle des glaciers et certaines sources profondes.
Divers procédés permettent de dynamiser une eau qui ne le serait plus naturellement, entre autre par adjonction d’ions métalliques, à savoir d’oligo-éléments ou de minéraux. On obtient aussi des résultats avec la simple adjonction de quelques goutte de jus de citron ou d’orange . Ce qui va permettre d’obtenir une solution colloïdale minérale! L’eau ainsi dynamisée est digeste, légère, agréable au goût et favorable à la santé. Les eaux thermales agiraient donc surtout en raison de leurs radiation élevées, dues à leur activité minérales.
« Prises à leur source même, elles sont très dynamisées » : c’est pourquoi il n’en faut prendre que de petites quantités à la fois pour éviter de trop grandes « réactions ». La mise en bouteille fait rapidement baisser la radiation et il n’en reste quasi plus rien au bout d’une quinzaine de jours.

L’eau de Lourdes:

Ayant analysé selon sa méthode l’eau de Lourdes, Simoneton considère qu’elle ne peut soigner que par les bains. L’explication des « miracles » parfois constatés tiendrait essentiellement à sa radiation très élevée. (15600 Angströms), liée à la présence de ses ions minéraux. Ce serait dans ce fait que résiderait aussi l’explication de ce curieux phénomène toujours constaté: bien que de nombreux malade contagieux soient régulièrement baignés dans ces piscines, « il n’y et il n’y aura jamais de contagion du fait de la très grande énergie de cette eau ».

(Source: Marie France Muller)

Commentaire

  1. BONVALLOT dit :

    Comment peut-on interpréter les paramètres de la BEV mesurés sur une rivière ?
    Peut-on hiérarchiser la dégradation de la qualité de l’eau avec la BEV ?
    Comment interpréter la valeur de W sur un rivière dans le cadre d’une étude de qualité.
    Il ne s’agit pas de faire de l’eau potable mais de mettre au point une technique innovante de caractérisation de la santé d’un milieu aquatique.
    Existe-t-il un labo universitaire travaillant sur ce sujet dans ce domaine de l’hydro-écologie ?

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