Santé
Coca-Cola : feuille de Coca et noix de Cola
Le Coca-Cola, c’est officiellement de l’eau gazéifiée plus du sucre plus des arômes naturels qui sont des extrait de végétaux. A chaque instant, près de 80 millions de personnes dans le monde ouvrent une bouteille de Coca-Cola; chaque jour, la société vend 2 milliards de boissons.
Historique du Coca-Cola
C’est à Colombus que tout a commencé en 1886 avec un pharmacien qui, passionné de sodas, en a inventé de nombreuses formules à visées thérapeutiques. Précisément, il est parti d’une boisson française « le vin Mariani » qui contenait en l’occurrence de la cocaïne (à l’époque c’était légal). On trouve dans un article du journaliste Charles Solter publié en 1979, la recette originale de l’inventeur remontant à 1910, qui incluait de la cocaïne. Le nom de baptême COCA-COLA de ce soda signifie qu’il est à base d’extraits de feuilles de coca et noix de cola, et il a été vendu des années durant en pharmacie en tant que médicament à usages multiples (anti douleurs, anti anxiété…)
Y a-t-il toujours de la cocaïne dans le Coca-Cola ? Les milliards de consommateurs de Coca-Cola, les enfants y compris, sont-ils des cocaïnomanes qui s’ignorent ?
Au port de New Jersey, une compagnie reçoit discrètement de la Bolivie et du Pérou de grandes quantités des feuilles de coca. Or cette importation n’est autorisée qu’à l’usage de la pharmacie ….. et de Coca-Cola. Ces feuilles sont traitées par une usine spécialisée : la Stepan Company qui en extrait la cocaïne pour la pharmacie, mais le mystère reste entier concernant Coca-Cola – et livre à l’usine Coca-Cola les barils de concentrés, protégés de grilles et marqués DANGEREUX – CORROSIF.
Intoxication au sucre
Dans ½ litre de Coca-Cola, il y a l’équivalent en sucre de 16 sachets de bistrot. Un américain boit en moyenne 170 litres de soda par an, ce qui correspond à 20 kg de sucre.
Dans les fast food américains, les verres d’eau servis sont de petite taille, alors que les verres de Coca-Cola font 75 cl, et les commandes des verres suivants sont gratuites. Il y a 50 ans, on buvait en moyenne 4 verres de Coca-Cola par an. Aujourd’hui, les sodas remplacent l’eau et sont la première source de calories des américains. De plus, tout ce sucre acidifie l’organisme et le met en terrain acidose, source de nombreuses maladies inflammatoires.
Selon un spécialiste mondial de l’obésité, chaque cannette métallique de Coca-Cola contient 39 g de sucre, ce qui équivaut à 10 cuillères à café bombées. Beaucoup de personnes consomment 2 cannettes de coca par jour, ce qui donne 20 cuillères à café de sucre… Pauvre pancréas !!! Le sucre est classé drogue douce ; mais il n’en crée pas moins une addiction. En particulier, il affecte une zone de récompense du cerveau, la même zone que pour la cocaïne, la nicotine, les amphétamines, l’héroïne, la morphine. Plus on en consomme, et plus la dopamine du cerveau en redemande pour obtenir le même bien-être.
Et la solution LIGHT (sans sucre). L’indispensable édulcorant qui a été sélectionné pour compenser l’amertume, c’est l’ASPARTAM, cette dangereuse excitotoxine qui a été mise au point dans le cadre silencieux de la guerre chimique, et qui sucre 180 fois plus que le saccharose. En dépit d’un dossier plus qu’alarmant avec 92 effets secondaires répertoriés, après 6 années de refus d’AMM par la FDA américaine, l’autorisation a été forcée politiquement par le sinistre Ronald Rumsfeld, et adoptée ensuite dans 90 pays, on suppose sous la pression de l’OMC !
Le colorant caramel
C’est le E150 B chimique qui donne la couleur caractéristique au Coca-Cola. On obtient la couleur caramel à partir du sucre (encore lui) que l’on traite à l’ammoniaque puis avec divers acides sous haute pression. Ces opérations peu sympathiques génèrent de nouvelles molécules dont l’une s’appelle la 4MI qui a été démontrée cancérigène chez les animaux…
En Californie, ce colorant est très controversé, aussi cet état a obligé Coca-Cola et Pepsi-Cola à en réduire le dosage à 29 microgramme par litre. En France, on tolère sans état d’âme 79 microgrammes. Dans le coca light la limite du colorant est multipliée par 3.
Extrait de l’article de Michel Dogna : “Les secrets du Coca-Cola et ses faces cachées”
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